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Entrez sans frapper... bienvenue dans mon univers ! Je m'appelle Sacha !

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Bienvenue sur mon blog, je m'appelle Sacha j'ai 31 ans et je suis un passionné de musique (je chante au moins deux fois par semaine, dans des karaokés et aussi dans des spectacles de temps en temps). Vous en saurez davantage sur ma vie, mes amis, mes passions et aussi tout ce qui m'agace ou me plaît... Si vous me connaissez, vous risquez d'en apprendre plus... sinon, bonne visite !

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Les grands artistes du XXe siècle : Fernandel

Tout au long de la vie de ce blog, je vais de temps en temps mettre en avant des personnalités du monde artistique qui ont marqué ces dernières années, voire ces dernières décennies.

On va commencer par un grand comédien, Fernandel.

De son vrai nom Fernand Joseph Désiré Contandin, il est né le 8 mai 1903, dans l'appartement familial situé au 72 du boulevard Chave, grande artère de Marseille (Provence - Occitania), où de nos jours, figure une plaque rappelant cet évènement.

C'est au théâtre Chave qu'il débute dans un drame historique: "Marceau ou les enfants de la révolution" d'Anicet Bourgeois. Mais c'est sur la scène d'une petite salle du proche quartier de Castellane, la Scalla (le futur Eldorado), que Fernand va faire connaissance à la fois avec le public et... le trac. Le pioupiou interprète de manière plutôt gauche mais sans faiblir "Mlle Rose". C'est le succès: le public explose en ovations. Après un gala au Châtelet, il passe au Palais de cristal.

En attendant, il fréquente de plus en plus assidûment la petite s½ur de Jean, Henriette. D'ailleurs, lorsqu'il vient voir sa fiancée, Mme Manse l'interpelle par : "Vé ! Voilà le Fernand d'Elle !". Il prend d'ailleurs ce pseudo pour apparaître sur la scène de l'Edorado et partage son temps entre spectacles et travaux alimentaires. Désireux d'épouser Henriette (chose faite le 4 Avril 1925), il accepte une place à la savonnerie du Fer-à-cheval qu'il gardera jusqu'au printemps 1925 et son incorporation sous les drapeaux. D'abord à Grenoble, puis à Marseille, son service militaire se déroule plutôt bien puisqu'il habite le soir chez lui.


La famille Contandin s'installe à Paris en mars 1930 et s'agrandit le 18 Avril avec la naissance de sa seconde fille Janine. Cet "exil" parisien est reconduit puisque Fernand est engagé, par Henri Varna, pour un an afin d'être l'une des attractions de sa revue Nu sonore....

Véritable triomphe, ce spectacle lance définitivement la carrière de Fernandel. Ainsi, Marc Allégret lui rend visite dans sa loge afin de lui proposer un petit rôle dans "Le Blanc et le Noir" (1930). Ce film est surtout pour lui l'occasion de rencontrer 2 personnages qui deviendront ses amis : Sacha Guitry, l'auteur de la pièce dont est tirée le scénario, et Raimu, acteur principal.

En attendant le "grand" rôle, Fernandel participe en un an à 14 films, occupant de façon délirante son emploi du temps : il tourne matin et après-midi et il chante le soir. Cette période se poursuit après la dernière du Nu... puisqu'il enchaîne 12 nouveaux films en 1932, dont On purge bébé (J.Renoir),les Gaietés de l'escadron (M.Tourneur) où il retrouve Gabin et Raimu ou le premier scénario de son beau-frère Quand tu nous tiens, amour (M.Cammage) et 8 en 1933.

Il ne délaisse pas non plus la scène, puisqu'il parcourt la France (de l'Eldorado marseillais à l'Elysée Palace de Vichy, avant de revenir à Bobino puis aux Folies-Bergère). Marcel Pagnol le contacte en 1933 pour le personnage de Saturnin de "Un de Beaumugne". Poliment attentif, Fernandel se laisse gagner par cette histoire. Mais, il a un gros problème : boulimique, il croule sous les engagements et demande donc à Pagnol de décaler le tournage d'Angèle de quelques mois. Ce sera chose faite, donnant naissance à une amitié (et des disputes !) de près de 30 ans. Après l'immense succès d'"Angèle" (1934), son premier rôle dramatique, Fernandel tournera trois autres films avec Marcel Pagnol : "Regain" (1937), d'après Jean Giono, "Le Schpountz" (1937) et "La fille du puisatier" avec Raimu (1940), "Naïs", sur un scénario et des dialogues de Marcel Pagnol, d'après Émile Zola, fut signé pour la mise en scène, par Raymond Leboursier en 1945.

C'est pour leur 10 ans de mariage que le couple achète la villa des Mille Roses dans la banlieue de Marseille, devenant avec le temps le refuge de Fernandel, de sa famille et de ses amis (Andrex, Bousquet, Darcelys et Georgel, entre autres). Après les Bleus de la Marine, premier scénario de Jean Manse, son beau-frère s'est attaqué à l'écriture d'"Ignace" qui devient dans un premier temps une opérette créée aux Variétés (et qui triomphera partout en France) avant d'être filmé en 1937 par Pierre Colombier. Il est à noter que ce prénom sera le 3ème donné au fils Contandin, né le 10 Décembre 1935 (avec Frank et Gérard).

Après "François 1er" et "Les Dégourdis de la 11ème" (Christian-Jaque - 1937), il retrouve son ami Pagnol qui lui offre l'échec "Regain" et le triomphe "Le Schpountz" la même année.

De retour à la vie civile après la guerre 39-45, la Continentale, de mémoire très trouble, lui "demande" de jouer et de réaliser "Simplet" en collaboration avec Carlo Rim. Sur un scénario de Manse, il retrouve autour de lui sa bande d'amis marseillais et cette première expérience demeurera, malgré les circonstances, un bon souvenir.

Sans chercher vraiment à faire acte de bravoure, il se retire peu à peu de la vie publique, se réfugiant dans une nouvelle propriété, à Carry-le-Rouet, ne tournant rien entre la nouvelle commande de la Continentale ("Adrien" qu'il réalisera en 1943) et la libération. Le retour de Fernand dans les salles se fait par l'intermédiaire d'un bossu extraordinaire dans "Naïs" (1945) de Pagnol et sur scène à l'ABC en Octobre (pleurant toutefois la disparition de Raimu). C'est au cours des représentations de la nouvelle opérette de Manse, "Les Chasseurs d'Images", qu'un jeune marseillais, Henri Malakian, vient le voir dans sa loge pour lui demander un parrainage. C'est le début d'une amitié et d'un talent, celui d'Henri Verneuil, avec lequel il tournera "Le Mouton à cinq pattes" (1954) ou "La Vache et le Prisonnier" (1959).

Après l'excellente "Armoire Volante" (C.Rim - 1949) et un retour sur scène, il travaille enfin avec Sacha Guitry ("Tu m'as sauvé la vie" - 1950) où il recueille les seules bonnes critiques du film. Quant à "Adhémar" (1951), c'est l'acteur qui le réalisera car le Maître subit en même temps l'opération de la dernière chance (dont il sort vainqueur).

Période faste entre toute, car Fernandel participe à "Topaze" (M.Pagnol - 1950) et à "L'Auberge Rouge" (C.Autan-Lara - 1951) avant de devenir "Don Camillo" sous la houlette de Julien Duvivier. Les années qui suivent sont marquées par l'importante collaboration avec Verneuil (au final 8 films dont 6 entre 1951 et 1954) et la brouille avec son mentor, Marcel Pagnol. Débutée par une peccadille (le refus de Fernandel d'incarner Ugolin dans Manon des Sources en raison de trop nombreux engagements pris par l'acteur), celle-ci éclate sur le tournage de "Carnaval" (1953) dont la réalisation a été confiée à Verneuil car Pagnol était lui-même débordé. L'acteur, agacé par le manque de rigueur de l'auteur, lui fait part sur le tournage de ses réserves. Pagnol réagira en humiliant Fernand devant tout le monde, le qualifiant de "grimacier". La fâcherie durera près de 20 ans.

Le reste de cette décennie ne laisse pas une grande trace malgré "Ali Baba" (J.Becker - 1954), "Le Couturier de ces dames" ou "Sénéchal le Magnifique" (J.Boyer - 1956 et 1957), jusqu'à la célèbre Margueritte et son prisonnier.

Si les années 60 débutent bien (grâce à Crésus de Jean Giono), Fernandel enchaînent navet sur navet (y compris la première ½uvre de Sergio Leone, "Avanti la musica", dont la seule qualité fut de marquer les débuts de son fils, Frank) avant de fêter ses 30 ans de cinéma.

Lauréat du prix Courteline 1963 de l'humour, il retrouve pour la première (et hélas) dernière fois le lauréat 1962, Bourvil, dans "La Cuisine au Beurre" (G.Grangier - 1963), les deux hommes s'avouant leur admiration mutuelle en privé. Si le résultat se laisse regarder sans déplaisir, la rencontre la plus marquante de cette période est celle de Jean Gabin au mariage d'Henri Verneuil, dont ils seront tous les deux les témoins.

Les deux hommes s'entendent très vite et décident de créer une société de production, la "GAFER" (= GAbin + FERnandel) chargée de développer des scénarios pour les 2 monstres sacrés: il en résultera "L'âge ingrat", avec Jean Gabin, son fils Frank Fernandel et Marie Dubois, de Gilles Grangier.

On le retrouve, avec son fils en première partie, au music-hall en 1965, triomphant à nouveau, avant d'enchaîner le 5ème Don Camillo. L'acteur qui n'a plus rien à prouver accepte de tourner pour Mocky, "La Bourse ou la Vie" (1966), par amitié pour Bourvil qui tenait le réalisateur en haute estime. Ce sera une erreur, mais il ne s'en soucie pas. Il tourne aussi dans l'adaptation par Denys de la Patellière du roman de Bernard Clavel, "Le Voyage du père" (1966). Il participe en parallèle à de nombreuses ½uvres caritatives, estimant qu'il doit bien cela à la vie qui l'a gâté.

En 1968, il chante pour la première fois à la télé (après longtemps avoir refusé) 5 titres dont "Félicie aussi" et "Les Gens riaient", admirable raccourcis de ses débuts. Fernandel retrouve aussi le théâtre avec "Freddy", une comédie policière de Robert Thomas. "Heureux qui comme Ulysse" (H.Colpi - 1969) sera cependant sa dernière apparition cinématographique.

Ayant fait une chute sur son bateau "Le Caméra" à Carry-le-Rouet, un kyste à sa poitrine est apparu quelques temps après. Il s'est avéré que ce kyste, après analyse, était cancéreux. Fernandel a donc développé un cancer, sa famille était la seule au courant. En tournant un nouveau "Don Camillo", sous la direction de Christian-Jaque, en août 1970, le comédien se plaint de fatigue. Il consulte un spécialiste en Italie, qui lui diagnostique une autre maladie. (Le film restera d'ailleurs inachevé et, repris par Mario Camerini, avec Gastone Moschin, sera distribué sous le titre de Don Camillo et les Contestataires, en 1972). Sa famille lui cachant la vérité, il n'a pas conscience de son état jusqu'à la fin. Le cancer se généralisant, il meurt d'un arrêt cardiaque, à cause de la fatigue imposée par la maladie et les traitements, le 26 février 1971 dans son lit, dans son appartement de l'avenue Foch à Paris.


***

P.S.: C'est à lui qu'on doit plusieurs succès de chanson comme "Félicie aussi", "Les moustaches de Thomas" ou encore "Le tango corse"... et surtout le fameux "On dit qu'il en est", que je chante de temps en temps au Saxo... ;-)
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#Posté le mercredi 30 mars 2005 04:33

Modifié le jeudi 21 avril 2005 06:28

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